Cigarette électronique : les industriels se défendent face à l’OMS

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Cigarette électronique : les industriels se défendent face à l’OMS

Alors que plusieurs études confirment les bienfaits de l’e-cigarette sur le sevrage tabagique, l’OMS vient récemment de sortir un communiqué visant à appuyer l’interdiction des cigarettes électroniques dans de nombreux pays du monde. En Europe, les vapoteurs sont nombreux à hausser le ton face à cette décision. Mais ce sont surtout les industriels qui se sentent particulièrement concernés. Les professionnels tiennent à rappeler à la grande instance internationale que la vapoteuse a joué un rôle prépondérant dans les initiatives visant à réduire le tabagisme dans le monde. Nombreux sont aujourd’hui les fumeurs qui ont réussi définitivement à arrêter de fumer grâce à l’e-cigarette.

Le soutien à l’interdiction des e-cigarettes : une décision regrettable

La décision a totalement surpris les industriels. Alors qu’ils s’attendaient à ce que l’OMS opte pour une position favorable, le résultat a été largement décevant. Et pourtant, l’organisation mondiale de la santé n’a-t-elle pas mis en place le traité obligeant les signataires à adopter des mesures de réduction des risques en matière de consommation tabagique ? Une initiative favorable à l’utilisation de la cigarette électronique aurait été plus appropriée. Selon de nombreux experts en santé, la grande instance internationale a totalement raté la meilleure occasion pour donner un coup décisif à l’accroissement du tabagisme dans le monde et, donc, de sauver des millions de vies.

Les professionnels estiment que ce manque de soutien à l’e-cigarette est totalement opposé à la vision de l’OMS visant à soutenir les alternatives moins nocives au tabagisme. Cette position contradictoire aura pour effet de remettre en question les véritables intentions de l’organisation et ses expertises en matière de politique de santé. Par ailleurs, cette décision ne fait que renforcer une fois de plus l’hostilité de l’instance internationale envers les autres alternatives moins nocives comme les produits de tabac à chauffer sans combustion et le snus. Des solutions qui, comme la cigarette électronique de chez smoking.fr, ont maintes fois prouvé leur efficacité dans la lutte contre le tabagisme.

La vapoteuse : un moyen efficace pour réduire le tabagisme

Puisque l’OMS semble s’être basée sur des analyses pour appuyer ses conclusions, les industriels encouragent vivement les experts de l’organisation à revoir les statistiques. Les récentes études réalisées dans le domaine de la prévalence tabagique sont assez révélatrices. Le dernier baromètre sur la cigarette électronique, publié par l’Union européenne, démontre que le vapotage demeure l’un des moyens les plus efficaces œuvrant à réduire le tabagisme en Europe, notamment dans les pays où la prévalence tabagique est assez élevée.

D’après les chiffres, en 2016, plus de 15 % des Européens fumeurs sont parvenus à se sevrer définitivement grâce à l’e-cigarette. Cela équivaut à plus de 500.000 personnes. 25 % des vapoteurs ont même pu réussir à totalement arrêté de fumer après avoir décidé de se mettre à cette solution qui s’avère être très pratique. Actuellement, ce taux a dépassé les 68 %. Ces résultats affirment encore une fois une réduction conséquente de la consommation de tabac, et cela, grâce aux alternatives moins nocives. Le fait est que l’e-cigarrette est une solution plus souple permettant aux fumeurs de changer progressivement, mais efficacement, leurs comportements par rapport à la dépendance au tabac.

Toujours selon les statistiques, la vapoteuse est largement bien plus efficace que les patchs nicotiniques. 92 % des ex-fumeurs estiment que la cigarette électronique leur a permis définitivement d’arrêter de fumer. Seulement 1 % des personnes interrogées affirment avoir changé grâce à l’utilisation des patchs nicotiniques. Bien sûr, certains experts de l’OMS ont utilisé comme argument les risques de maladies du fait des e-cigarettes. Toutefois, les industriels tiennent à préciser que le fait de vapoter n’expose, en aucun cas, à des risques de cancers ou de maladies cardiovasculaires.

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